Les Géomètres
Le par NosAvis.com
Qu’est-ce qu’un géomètre ?
La profession de géomètre-topographe appartient à la très large palette des métiers des travaux publics. Le géomètre est la première personne à intervenir sur le terrain lorsque l’on veut démarrer un projet de construction ou d’aménagement urbain (ou rural).
Premier maillon de la chaîne des métiers du BTP, il intervient aussi bien pour l’aménagement d’un quartier de ville, pour un calcul de surfaces d’appartements, de limites de propriété, de plans d’eau, pour un tracé de route, ou encore le dessin d’une base de loisirs… Parmi de nombreux exemples.
C’est à l’aide de différents outils très perfectionnés, comme par exemple un théodolite (instrument de géodésie et d’optique, mesurant les angles sur les plans horizontaux et verticaux), qu’il fait les mesures, calcule des distances ou des surfaces, des niveaux d’altitude de sol, y compris des hauteurs de poteaux électriques ou d’arbres mis dans un paysage qu’il doit étudier.
Différents types de géomètres existent :
- L’assistant-géomètre, qui réalise les mesures, les relevés sur le terrain, mais qui le plus souvent est de nos jours remplacé par le technicien géomètre topographe, grâce à sa polyvalence.
- Ce dernier traduit également à son bureau tous les plans et cartes sur son ordinateur, qu’il a en principe pris sur ses propres relevés ou sur les relevés d’un assistant géomètre. Il est ici placé sous la direction d’un géomètre expert, qui dirige son propre cabinet, seul ou en collaboration.
- Le géomètre expert a donc, lui, encore plus de responsabilités, comme de régler des litiges ou établir des règles de copropriété par exemple. Il est souvent employé dans des entreprises publiques ayant besoin de ses compétences, comme la SNCF, la RATP, EDF ou les DDT.
Même si le géomètre est amené à travailler par toutes les saisons et tous les temps (y compris la pluie la grêle, la neige), sur des terrains parfois difficiles, il est assuré d’exercer un métier qui n’entraîne pas de routine et qui est très varié. Les perspectives de carrière ne sont pas négligeables et encouragent souvent un géomètre à devenir géomètre expert.
Premier maillon de la chaîne des métiers du BTP, il intervient aussi bien pour l’aménagement d’un quartier de ville, pour un calcul de surfaces d’appartements, de limites de propriété, de plans d’eau, pour un tracé de route, ou encore le dessin d’une base de loisirs… Parmi de nombreux exemples.
C’est à l’aide de différents outils très perfectionnés, comme par exemple un théodolite (instrument de géodésie et d’optique, mesurant les angles sur les plans horizontaux et verticaux), qu’il fait les mesures, calcule des distances ou des surfaces, des niveaux d’altitude de sol, y compris des hauteurs de poteaux électriques ou d’arbres mis dans un paysage qu’il doit étudier.
Différents types de géomètres existent :
- L’assistant-géomètre, qui réalise les mesures, les relevés sur le terrain, mais qui le plus souvent est de nos jours remplacé par le technicien géomètre topographe, grâce à sa polyvalence.
- Ce dernier traduit également à son bureau tous les plans et cartes sur son ordinateur, qu’il a en principe pris sur ses propres relevés ou sur les relevés d’un assistant géomètre. Il est ici placé sous la direction d’un géomètre expert, qui dirige son propre cabinet, seul ou en collaboration.
- Le géomètre expert a donc, lui, encore plus de responsabilités, comme de régler des litiges ou établir des règles de copropriété par exemple. Il est souvent employé dans des entreprises publiques ayant besoin de ses compétences, comme la SNCF, la RATP, EDF ou les DDT.
Même si le géomètre est amené à travailler par toutes les saisons et tous les temps (y compris la pluie la grêle, la neige), sur des terrains parfois difficiles, il est assuré d’exercer un métier qui n’entraîne pas de routine et qui est très varié. Les perspectives de carrière ne sont pas négligeables et encouragent souvent un géomètre à devenir géomètre expert.
Comment devient-on géomètre ?
Pour devenir géomètre, plusieurs chemins sont possibles. Des formations existent depuis le BAC jusqu’à BAC + 5. Préparé durant 3 ans après la classe de 3ème, le BAC PRO technicien géomètre-topographe peut être une première étape pouvant faire accéder à des postes d’assistants géomètres-topographes.
Mais, comme ces derniers sont maintenant de moins en moins proposés, le futur géomètre peut poursuivre avec un BTS de géomètre-topographe, afin de devenir géomètre-topographe et, ainsi être technicien et non plus assistant.
Les licences professionnelles des métiers des travaux publics existent également. Elles permettent à ces candidats de préparer des concours afin de devenir au bout de 18 mois de formation Technicien Géomètre du Cadastre. Le géomètre expert, quant à lui, se prépare à des études de niveau BAC + 5, en intégrant une grande école : l’Ecole Supérieure des Géomètres et Topographes (ESGT), l’Institut National des Sciences Appliquées (INSA) ou encore l’Ecole Spéciale des Travaux Publics, du bâtiment et de l’industrie (ESTP). Il doit ensuite s’inscrire à l’Ordre des Géomètres Experts, après avoir effectué un stage formateur de deux années dans un cabinet. Il obtient ainsi un diplôme gouvernemental (DPLG).
Afin de devenir géomètre, de nombreuses qualités et compétences sont requises. Avec un sens de l’observation développé, une précision extrême, il doit également aimer les calculs compliqués, se faisant au millimètre, ainsi que se déplacer dans l’espace. Il doit être très à l’aise avec les représentations géométriques, le dessin 3D, ainsi qu’avec de nombreux logiciels informatiques, notamment de Conception Assistée par Ordinateur (CAO).
Comme nous le disions plus haut, un géomètre doit pouvoir travailler en extérieur sans problème, par tous les temps. Il doit également très souvent se déplacer, tout en aimant en même temps le travail de bureau. Les interlocuteurs qu’il peut rencontrer sont très divers : agents immobiliers, particuliers, mais aussi architectes, collectivités, notaires, chefs d’entreprises, Syndics, etc…
Mais, comme ces derniers sont maintenant de moins en moins proposés, le futur géomètre peut poursuivre avec un BTS de géomètre-topographe, afin de devenir géomètre-topographe et, ainsi être technicien et non plus assistant.
Les licences professionnelles des métiers des travaux publics existent également. Elles permettent à ces candidats de préparer des concours afin de devenir au bout de 18 mois de formation Technicien Géomètre du Cadastre. Le géomètre expert, quant à lui, se prépare à des études de niveau BAC + 5, en intégrant une grande école : l’Ecole Supérieure des Géomètres et Topographes (ESGT), l’Institut National des Sciences Appliquées (INSA) ou encore l’Ecole Spéciale des Travaux Publics, du bâtiment et de l’industrie (ESTP). Il doit ensuite s’inscrire à l’Ordre des Géomètres Experts, après avoir effectué un stage formateur de deux années dans un cabinet. Il obtient ainsi un diplôme gouvernemental (DPLG).
Afin de devenir géomètre, de nombreuses qualités et compétences sont requises. Avec un sens de l’observation développé, une précision extrême, il doit également aimer les calculs compliqués, se faisant au millimètre, ainsi que se déplacer dans l’espace. Il doit être très à l’aise avec les représentations géométriques, le dessin 3D, ainsi qu’avec de nombreux logiciels informatiques, notamment de Conception Assistée par Ordinateur (CAO).
Comme nous le disions plus haut, un géomètre doit pouvoir travailler en extérieur sans problème, par tous les temps. Il doit également très souvent se déplacer, tout en aimant en même temps le travail de bureau. Les interlocuteurs qu’il peut rencontrer sont très divers : agents immobiliers, particuliers, mais aussi architectes, collectivités, notaires, chefs d’entreprises, Syndics, etc…
Qu’est-ce qu’un géomètre expert ?
Le géomètre expert a de très grandes responsabilités, et a fait les plus longues études, afin de pouvoir obtenir un véritable diplôme gouvernemental. Il identifie, mesure, définit la surface, valeur ou bornage des parcelles de terrain, et des biens immobiliers qu’ils soient publics ou privés, tant à la surface qu’en sous-sol, ainsi que les travaux qui y sont faits.
Il organise les enregistrements y afférent et, également, étudie, projette, dirige l’aménagement ou l’amélioration foncière, urbaine ou rurale. Seul professionnel habilité par la loi à dresser les plans et les documents topographiques à incidence foncière, il travaille soit dans son propre cabinet, soir dans un bureau d’étude des entreprises du bâtiment, soit encore dans une société de topographie du secteur industriel. Il est donc souvent chef d’entreprise, ayant sous sa responsabilité plusieurs salariés.
En parallèle, il est capable d’établir des règles de copropriété, et être Syndic de copropriétés.
En résumé, le géomètre-expert :
- Fixe les limites entre des terrains contigus, les limites des biens fonciers par le bornage
- Divise une parcelle
- Informe des éventuelles servitudes
- Donne des consultations juridiques sur les possibilités de constructions (à des particuliers privés ou des entreprises publiques, ou des administrations)
- Effectue des démarches administratives diverses (notamment lors des ventes d’immeubles)
- Assure la maîtrise d’œuvre des voiries et réseaux
- Fait des diagnostics (amiante, termites, électricité, performance énergétique, plomb, gaz…)
- Constitue un dossier de demande d’aménager, de permis de construire
- Gère des patrimoines immobiliers
- Est Syndic de copropriété
- Rédige les règlements de copropriété
- Conseille les élus, les propriétaires (notamment sur la mitoyenneté ou la division foncière)
Les géomètres-experts travaillent dans de nombreux milieux, y compris les plans d’eau, les forêts et les sous-sols. Ils sont organisés en Ordre depuis 1946 : l’Ordre des Géomètres-Experts (ou OGE). C’est un métier qui a près de 4000 ans !
On fait appel à un géomètre-expert lorsque l’on doit délimiter un bien foncier, sécuriser une transaction immobilière, ou encore quand on doit aménager une zone urbaine ou rurale. Il doit alors parfaitement connaître son territoire. Il garantit à ses clients l’indépendance du conseil qu’il prodigue, et assure le meilleur compromis entre économie du projet, adaptation au type de terrain concerné, ainsi que respect des droits d’urbanisme et de propriété.
Il organise les enregistrements y afférent et, également, étudie, projette, dirige l’aménagement ou l’amélioration foncière, urbaine ou rurale. Seul professionnel habilité par la loi à dresser les plans et les documents topographiques à incidence foncière, il travaille soit dans son propre cabinet, soir dans un bureau d’étude des entreprises du bâtiment, soit encore dans une société de topographie du secteur industriel. Il est donc souvent chef d’entreprise, ayant sous sa responsabilité plusieurs salariés.
En parallèle, il est capable d’établir des règles de copropriété, et être Syndic de copropriétés.
En résumé, le géomètre-expert :
- Fixe les limites entre des terrains contigus, les limites des biens fonciers par le bornage
- Divise une parcelle
- Informe des éventuelles servitudes
- Donne des consultations juridiques sur les possibilités de constructions (à des particuliers privés ou des entreprises publiques, ou des administrations)
- Effectue des démarches administratives diverses (notamment lors des ventes d’immeubles)
- Assure la maîtrise d’œuvre des voiries et réseaux
- Fait des diagnostics (amiante, termites, électricité, performance énergétique, plomb, gaz…)
- Constitue un dossier de demande d’aménager, de permis de construire
- Gère des patrimoines immobiliers
- Est Syndic de copropriété
- Rédige les règlements de copropriété
- Conseille les élus, les propriétaires (notamment sur la mitoyenneté ou la division foncière)
Les géomètres-experts travaillent dans de nombreux milieux, y compris les plans d’eau, les forêts et les sous-sols. Ils sont organisés en Ordre depuis 1946 : l’Ordre des Géomètres-Experts (ou OGE). C’est un métier qui a près de 4000 ans !
On fait appel à un géomètre-expert lorsque l’on doit délimiter un bien foncier, sécuriser une transaction immobilière, ou encore quand on doit aménager une zone urbaine ou rurale. Il doit alors parfaitement connaître son territoire. Il garantit à ses clients l’indépendance du conseil qu’il prodigue, et assure le meilleur compromis entre économie du projet, adaptation au type de terrain concerné, ainsi que respect des droits d’urbanisme et de propriété.
Évolution de carrière et différents lieux de travail
Dans la fonction publique, le Géomètre du Cadastre a la possibilité de passer d’autres concours par la suite. Il peut ainsi franchir quelques échelons et devenir Géomètre Principal. Dans des entreprises publiques, comme la SNCF, la RATP ou encore EDF, il travaille dans les services topographiques, avec un statut de fonctionnaire. Il monte ensuite des échelons en interne. Il peut également exercer au sein des services techniques des villes, ou des collectivités territoriales, ainsi que les Directions Départementales des Territoires.
Lorsqu’il travaille dans le privé, le Technicien Géomètre Topographe peut ouvrir son propre cabinet. Différents types d’entreprises peuvent faire appel à lui : BTP, urbanisme, génie civil, agriculture, aménagement du territoire, Institut Géographique National…
Il peut alors collaborer à l’établissement du Plan d’Occupation des Sols (POS), ou encore expertiser la valeur d’une propriété agricole. Il peut aussi évoluer dans les industries minières ou pétrolières, s’occupant de la mise en place de machines ou de contrôles d’installations.
Avec son bureau d’études, et en continuant le cursus de licence professionnelle devenir Géomètre Expert. Depuis 2013, une fois inscrit à l’Ordre, le géomètre peut devenir géomètre-expert salarié. S’il a son propre cabinet, il dirige une équipe et sa responsabilité pénale est engagée.
Forts de bonnes connaissances dans les domaines de l’immobilier, et de réelles compétences juridiques, les géomètres-experts peuvent devenir des conseillers aux particuliers et copropriétaires, particuliers ou entreprises. Ils travaillent en équipe parfois, à la construction des villes, à l’aménagement des territoires, en connaissant les règles et lois en faveur de l’environnement et à la qualité du cadre de vie.
Lorsqu’il travaille dans le privé, le Technicien Géomètre Topographe peut ouvrir son propre cabinet. Différents types d’entreprises peuvent faire appel à lui : BTP, urbanisme, génie civil, agriculture, aménagement du territoire, Institut Géographique National…
Il peut alors collaborer à l’établissement du Plan d’Occupation des Sols (POS), ou encore expertiser la valeur d’une propriété agricole. Il peut aussi évoluer dans les industries minières ou pétrolières, s’occupant de la mise en place de machines ou de contrôles d’installations.
Avec son bureau d’études, et en continuant le cursus de licence professionnelle devenir Géomètre Expert. Depuis 2013, une fois inscrit à l’Ordre, le géomètre peut devenir géomètre-expert salarié. S’il a son propre cabinet, il dirige une équipe et sa responsabilité pénale est engagée.
Forts de bonnes connaissances dans les domaines de l’immobilier, et de réelles compétences juridiques, les géomètres-experts peuvent devenir des conseillers aux particuliers et copropriétaires, particuliers ou entreprises. Ils travaillent en équipe parfois, à la construction des villes, à l’aménagement des territoires, en connaissant les règles et lois en faveur de l’environnement et à la qualité du cadre de vie.
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